C’est bien l’entraîneur qui avait osé révéler à sa compagne journaliste les mots doux d’Anelka. A l’affront des insultes, Domenech ne voulait pas ajouter la lâcheté du silence.
Avec cette mort violente, on doit enterrer un système qui a favorisé les salauds aux gros egos surfriqués. Ce groupe n’était qu’un conglomérat d’opportunistes. Ils cultivaient une solidarité de coqs enfiévrés pour le combat interne, certains mettant au cœur de leurs principes l’indigne omerta sur les crasses qui s’opéraient dans cette équipe de rances.
Avec cette mort violente, on doit enterrer un système qui a favorisé les salauds aux gros egos surfriqués. Ce groupe n’était qu’un conglomérat d’opportunistes. Ils cultivaient une solidarité de coqs enfiévrés pour le combat interne, certains mettant au cœur de leurs principes l’indigne omerta sur les crasses qui s’opéraient dans cette équipe de rances.
La main baladeuse de Henry, le zob suintant de Ribéry, la sale gueule d’Anelka et désormais la langue pendante de Domenech : l’aventure, non pas jouée mais tristement singée, de l’équipe nationale française se résume à un sommaire puzzle organique à gerber.
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