Pour cette promenade, se sont glissés divers acrostweets à dénicher. Les solutions se découvrent en cliquant sur les mots signalés par leur couleur différente.
Alors que je m’essaye à des intonations totalement habitées pour interpréter avec fougue l’air éternel, le chemin régional s’élargit d’un coup de baguette administrative. On devrait s’y sentir plus à l’aise… on devrait, mouaip ! Du champ pour le premier fracas de l’année, le départ de celle qui voulait tenir autrement une bouillonnante insécurité : risques augmentés de dysfonctionnement par ce laxisme prétendument humaniste. Avec cet abandon de poste, l’occasion de voir s’agiter tous ces petits personnages au rond de cuir respectif plus ou moins couvrant pour leur fondement.
Trombacrostweet 2016 - première partie |
Alors que je m’essaye à des intonations totalement habitées pour interpréter avec fougue l’air éternel, le chemin régional s’élargit d’un coup de baguette administrative. On devrait s’y sentir plus à l’aise… on devrait, mouaip ! Du champ pour le premier fracas de l’année, le départ de celle qui voulait tenir autrement une bouillonnante insécurité : risques augmentés de dysfonctionnement par ce laxisme prétendument humaniste. Avec cet abandon de poste, l’occasion de voir s’agiter tous ces petits personnages au rond de cuir respectif plus ou moins couvrant pour leur fondement.
Au premier virage, le début
des emmerdes : ça braille sur l’enrobé, ça capitule sur le bas-côté alors
que Dylan et Laurette pétillent en chansons humées. Je m’arrête un instant pour
faire l’accolade au bonhomme à la gouaille affective liée au bien rire
unificateur. On trinque et hop ! je repars sur cette voie mal éclairée, me
tapant bientôt les enragés d’une déraisonnable invention ensorcelant unilatéralement.
Son représentant est là aussi, bien embarrassé devant tant d’excitation
mortifère. Il confie à qui veut l’écouter : « Mes adeptes haineux
occultent mon expérience tolérante… ». C’est bien là le nœud gordien de
l’affaire : un avilissement liberticide lubrifiant aux hurlements outranciers
une addictive kalachnikov badigeonnée au religieux. J’accélère le mouvement des
jambes pour sauver mon cou du tranchant des armes rouge liquide.
Je fuis vers celui qui me
fait un geste amical : lui n’a que des détonations artistiques vêtues
incroyablement de brillances où Warhol inspire expressément. Je lui réponds en
rythme, sur le même morceau salvateur. Du cœur et de la conviction, il va m’en
falloir pour tenir tête au petit hargneux qui jaillit du buisson avec ses
thèses prémâchées en bandoulières. Je reconnais le profil et son
processus : crédule ou négationniste, son petit intellect, rissolé aux
tartignolles inventions, obstrue nuisiblement notre intègre savoir tant
explicité mais en vain rabâché. Je ne vais pas m’échiner à le ramener sur le
bon chemin. Ma route est encore longue, les embûches et rencontres sans doute
encore nombreuses. Atla ! atla !
Qui est ce monsieur
tout sec qui tient, sans pouvoir vraiment le cacher, un gros cahier noir ?
Il est temps de lui faire cracher cet hitlérisme enfoui irrigant des
essentialités glosées : graves enlacements rédhibitoires pour ce faux
sage. Je me détourne, bien déçu de la découverte, et change de focale pour
distinguer en contreplongée des empreintes tournées toujours où rayonnent
encore suffisamment ces ouvertures libérant ardemment nos aspirations. Baume au
cœur du créatif qui permet d’affronter les ennemis de la fréquence
intellectuelle : krach intégrationniste et laxiste kermesse raillés
alimentent un tremblement d’indignation.
Se reprendre et poursuivre,
vaille que vaille, le baluchon en vrac et les godasses qui bâillent… Ecouter ce
convaincant orateur humanisant notre – branlante – Europe nonobstant
d’inquiétants tiraillements. Noble engagement sur ce sentier de plus en plus
décrié. Tenir bon face aux entrepreneurs de démolition. J’attrape la glaise de
cet absolu royaume trop hérissé. Un rêve rimé insolemment me brise : abyme
ultrasensible dépeint est à deux pieds de m’ensevelir. Je songe alors à ces
barbants rosbifs exigeant Xième infecte transaction pour rester solidaires. Ils
veulent quitter le tracé commun. Soit, mais ce sera sans retour possible.
Essayer de ne pas mourir à nouveau du triptyque apocalyptique - viscéral
enfer, rage déchiquetée, ultime noirceur - c’est tout ce que souhaitent les
Européens de bonne volonté. Pour cela, un modèle : bibliothèque enchantée
reliant tout ouvrage, exaltant chaque opportunité. Lire sous ce chêne aux
bruissements apaisants : voilà la pause régénérante qu’il me faut avant
d’aller dire ses vingt-sept vérités à ce dangereux Anglais venant infliger des
coups au moteur européen : référendum obscène napalmisera le suant mal arrimé.
De l’autre côté du pont sans
Manche, je dois subir les blagues de troufion du sinistre amuseur : ce
yéti rigolard infecte la hutte audiovisuelle, nasse où un naze abêtit la masse
hypnotisée par de péteuses existences obsédées par l’exhibition. Je peux enfin
m’extraire grâce à une saoulerie affective intriquant nos trajectoires
accidentées, mais oxygénant une ruralité.
Le vagabondage s’étoffe de
visions improbables, telle celle près des fourrés : pénétration religieuse
et tentations refoulées entretenues. Allez ! pour compléter la fresque,
amène ta pitoyable hypocrisie intégrant les immondes prêtres
pédocriminels ; ennuyeux barouf aux révélations bigrement
accusatoires : réputation indubitablement niquée. Bouchez l’encens !
Du spirituel à l’économie, les perditions se répondent. Ainsi, pour
Areva : notre nullité entrepreneuriale laisse agonisante une vaillante
entreprise ruinée grièvement en opérations nucléaires. Agitez le goupillon…
J’avance pour la forme, déjà
nauséeux, mais le pire m’attend avec cette fosse à purin en extension : au
fond gigote l’immonde. Ce salopard aux lâches attentats heureusement arrêté,
bien difficilement extradé, sentira les assises méthodiques de l’hexagone. Lui
et d’autres, pas plus ragoûtants, viennent d’une matrice opérationnelle livrant
en nombre barbares enragés et kamikazes prêts à se faire exploser. Je passe la
nuit un peu plus loin, pour me chuchoter quelques songes.
Au matin, le signe d’une
journée ensoleillée avec nos plats intensément enchanteurs : rire
résolument en cuisinant ou foudroyer force enfumeurs
tel ce théoricien aux ramifications intégristes qui radote, avec moult
archaïsmes, des aberrations nauséabondes. Je le laisse, après l’avoir entarté,
à sa pseudo docte conférence. Après le trou d’hier, je tombe nez à tas avec un
monceau de pourritures argentées niant avoir magouillé : affairisme
politique avec prévaricateurs en ribambelle salaude. Comment sortir de cet
avilissement généralisé ? Certainement pas avec ce que propose le
rassemblement improvisé dans les sous-bois. J’écoute leurs discours, j’observe
leurs attitudes. Déception : la nébuleuse utopie, incertainement
travaillée, déguisée en bond offensif : un théâtralisme impossible à
mettre en œuvre. Tout près de cette bavarde réunion, un déjanté des villes se
défoule : le caractériel arriéré saccageant son environnement urbain
rageusement me laisse perplexe. Quel message à déceler ? Je devrais lui
conseiller les incontinents nuages occupant nos divers aménagements terrestres
immergés ou nettement saccagés : de l’humain à la nature, une vraie
convergence dévastatrice.
Pour prendre le large et
viser la prochaine clairière, rien ne vaut la musique du lutin génial :
pop rock, intuitivement noués, copulent enfin. Cet univers de notes tranchent
avec le hérissement épique orchestré : honnir les assourdissants geignards
aux uppercuts contre Hollande enlisé. Ça renifle le regroupement factice en
cours de liquéfaction. Je m’amuse de leur parade faussée, mais regrette la
laxative opposition interdisant toute réforme ambitieuse : vase aux
insignifiances législatives contre lesquelles s’insurgent pourtant les frileux
manifestants qui piétinent. Dans un recoin ombragé se démènent deux
négociateurs pour trouver une issue à leur projet dont l’annexe, en forme de
devise, n’est possible que pour l’une des parties au contrat : truander
autrui favorise tes affaires précise l’addendum. Quel progressiste
programme !
La marche au cœur réformateur
oxygène nettement et, comme chaque fois depuis le début du cheminement, la
purge sera mélodique. En l’espèce, une bien plus belle affaire : harponne une
boule en rimes, ta musique orbitera, unissant nos inventives envolées
rythmées. Bonheur transcendant que je peux associer aux images projetées sur
une toile tendue qui parviennent à nous surprendre toujours en visant
extraordinairement nos significatives peurs immergées et les balades extraterrestres
rêvées génialement. Chapeau, les artistes…
Tout éprouvant que soient
certains passages du chemin choisi, cela à l’avantage de ne pas sombrer dans
l’artifice suprême d’un autre lieu visité naguère et pour lequel un bilan
sévère s’impose : frime et stras transpirent ici, vérolant ainsi les
déambulations empruntées. Croisette aux narcisses nantis et superficiels
symbolise l’endroit.
Je cumule les kilomètres et
les sombres personnages s’ajoutent. Ainsi, je ne peux adhérer à la conception
du pouvoir de ce moustachu impassible qui, en religieux dirigiste opprime
gravement : assombrissement national qui perdure suite à ses choix
impardonnables. Derrière lui, des plaintes sourdes émergent du sol fraichement
retourné…
En face, sur la berge
démocratique, l’antre social se porte bien. Les emmerdeurs s’y nichent,
déclarant inacceptable chaque avancée : tas contestataire gueulant
toujours et encore. Ça lasse… d’autant que parmi eux se dresse le meneur, petit hargneux
incitant les interminables protestations pour exister, moustachu arriviste
rejetant tout initiative novatrice : extrémiste zinzin, pour résumer le
furieux. On est là très loin de la jaillissante communication déroulée en
couleur aux urbanismes xérographiques. On est tout juste dans le meuglement
ressassé…
Après un temps de marche
apaisante, une descente me fait passer à côté de quelque chose sans y prêter
attention. Quelques mètres après, je m’arrête, pris d’un doute, me tourne vers
cette forme et comprends à quoi j’ai affaire : un gars immobile, entièrement
nu, peint en vert fougère, tente de se faire oublier. C’est bien lui, le député
écUlogique nous infligeant sa bistouquette avec un prélude imposé négativement.
Une sorte de DSKéquette inassumé. Je lui souhaite de ne pas croiser celui qui
s’est forgé la réputation de mettre out : harangues athlétiques
massivement engagées, dénonçant aussi les injustices et qui pulvériseraient le
vert nabot.
Pas de quiétude pour
aujourd’hui. Le son massif d’une foule bien identifiée me parvient,
manifestation d’un engouement un rien outré : dopage encouragé, fric
obscène où taper baballe attise la liesse, voilà ce qui perturbe mon parcours.
Fréquemment dans leurs rangs, des hordes opérant ostensiblement : leurs
instincts guerroyant avilit notre société. De toutes parts, de quoi se dégoûter du monde. Ces déchaînements ludico-nationalistes rendent impuissante la juste
orientation combattant odieuse xénophobie et qui expire, poignardée au cœur de
l’Europe. Cela ne semble pas perturber la course qui se prépare deux mètres
devant moi. Huit concurrents derrière la corde vont chacun verser dans la
pesante rivalité individualiste menant aux indigestes racolages électoraux.
Sans maître à aduler, l’épreuve devrait les départager.
D’un coup, les étoiles en
rond tremblent et une portion conséquente au nord-ouest se détache et me
flanque une gerbe référendaire au nocif divorce européen. Brutal rejet en
travestissant assez grossièrement notre ensemble, c’est ce qui me vient à
l’esprit lorsque je croise l’échevelé responsable de la rupture et dont
l’incohérence politique révulse. Pour synthétiser l’énergumène et ses
choix : brexit ourdi, renoncement imprévisible, son jeu opportuniste
heurte. Non-sens où naufrager, mais lui s’en tire avec une pirouette. Son
compère, nationaliste insulaire, grouine, excitant les fielleux au royaume
angoisseux, guère européen. Duo infâme ! Je les regarde rejoindre le
néant. Un visage qui m’est familier fait de même, le regard acéré d’une méthodique
intelligence croyant hautement en la rectitude opérationnelle. Cette aspiration
rayonnera durablement, espérons-le. Cela compensera un peu le délitement
intellectuel des déserteurs de l’Europe.
Après une nuit agitée, un
réveil cauchemardesque : j’apprends les crimes de l’abject terroriste
tuant en nombre tellement atrocement. Témoignons aujourd’hui notre immense
compassion endeuillée. Les heures lourdes s’écoulent et les détails du crime
m’effondrent : lente avancée pour repérer où massacrer
effroyablement ; nette accélération devant écraser, démembrer,
ensanglanter sans arrêt. Nos glaçants linceuls accumulés infernalement sidèrent
et la promenade devient caveau ouvert.
A quelques centaines de
lieues de là, douze jours plus tard, la marche chancelante, je m’arrête devant
un corps de blanc vêtu. Je demande aux badauds ce qu’avait bien pu faire ce
père pour une telle sentence : juste arborer cette quiétude unificatrice
et succomber héroïquement au monstrueux égorgement. « Luttons contre ces
barbares ! » je hurle, submergé par une vague de représailles nucléaires
pour en finir avec le dépotoir aux excréments criminellement haineux. Je suis
alors pris d’un délire rageur, et lorsque le chemin se met à longer une plage,
je fulmine en voyant s’exhiber en habits mouillés des bécasses utilement
repérables. Kilos informes nous incommodant par leur dissimulation :
seraient-ils offensés par notre regard ? Tout se brouille en moi, mais je
me dégage des sables mouvants pour rejoindre notre bonne vieille terre ferme.
Le soir, près d’un feu de
bois aux craquements reconstructeurs me vient cette réflexion : sans
croyance handicapante, on peut entrevoir notre humanité aux urgences en
représentation. C’est bien ce qui doit m’animer, en sage agnostique que je
m’efforce d’être. A trop rester dans le brouhaha de l’insane actualité, j’en
oublie les élans salutaires : modifier irrésistiblement ces habitudes en
littérature, bariolant un trop ordinaire rêve. Voilà qui élève l’âme, mais
brièvement.
Le lever se fait dans
l’angoisse d’un paysage à la botte bouleversée. L’apocalyptique magnitude, aux
tremblements ravageurs, italianise cet effroi. Il faut pourtant reprendre le
trajet avec les indignes qui l’assombrissent. Ainsi cette entreprise qui, avec
un lait acheté chichement, traite abjectement les interlocuteurs souffreteux.
De même cette société qui doit subir la sanction politico-médiatique :
abandonner lestement son territoire ostracise mécaniquement, et ce jusqu’à
l’absurde. Une compagnie s’invite au bal des structures avec parures
affriolantes : la mortifère organisation nie souiller abjectement nos terres
optimisées. Du grand art de communication. Enfin, pour finir la tablée,
signalons cette firme aux lourdes affaires fricotant avec rançonneur groupe
ennemi qui se prétend Etat.
Je prends alors la
bifurcation qui se présente mais d’autres scènes s’imposent, tout aussi
désespérantes. Je découvre, stupéfait, le choix d’un personnage ayant occupé la
première place de la commission européenne et qui ose une bancaire abjection
ralliée, reniant outrageusement ses obligations morales. Il intègre, sans
sourciller, l’établissement qui génère opportunément la délinquance mercantile,
aux notables salauderies, avec captations hermétiquement suspectes. Je voudrais
me distraire de cet univers puant. Je cède alors à une pécuniaire opération
kidnappant évidemment mes occupations nigaudes : gesticulations
obéissantes auxquelles je mets très rapidement un terme par l’écoute de celle
qui sait s’élever contre la miséreuse ère : radieux engagement
transformant en résolution efficace ses aspirations. Un parcours exemplaire que
le sien.
Via cette transcendance, le
chemin me révèle une temporalité intuitivement merveilleuse balisant un royaume
ténu où nicher. Je m’assoie et assiste à l’envol vertigineux avec grâce :
rôles enchantés en noblesse jusqu’à enhardir la limpide attraction pour une
révélation nimbée en lumineuses lévitations. Une pure poésie que ces projections
insatiables en rêves rayonnants, en tournages cinématographiques humainement expertisés
rendant nos interviews affectueuses. Je dois prolonger de si rares moments,
mais très vite le satané réel reprend ses droits.
Le hasard de la balade me
fait tomber sur une scène révélatrice de l’époque et du penchant malsains des
téléspectateurs et auditeurs. Juxtaposer un nettoyage gendarmé lourdement et
des effervescences certainement audiovisuelles les abreuve : infecte
sensationnalisme qui se systématise. Il reste pourtant du journalisme d’investigation
de qualité consistant à épingler les impunités suspectes en livrant un combat
efficacement télévisuel tout à l’honneur d’un service public par contraste avec
une chaîne privée d’information et ses insolubles tensions érigeant les
éreintements en gestion inhumaine.
Près d’une mare, un pavé va
précipiter la chute du Président trop bavard : Ubu ne peut rendre
élégantes ses incontinentes déclarations. En ne taisant nul épanchement, des
énormités vachardes ridiculisent avec insistance ton pouvoir assurément sans
dents : inexcusables rots élyséens, calamiteux aboutissement à l’horizon.
Cette avalanche de prosaïques révélations incite à sortir du chemin et à s’enfoncer
au hasard d’un lyrique effleurement ombrageant nos arts rêveusement dans ces
orages hantés et nourriciers qui me conduisent vers une héroïque extraction nommée
déradicalisation autoréalisée : avancer, yeux alertes, réveil incisif. Une
belle âme croisée au détour du passage buissonnier. Au hasard des rencontres à
l’écart des balises, j’étoffe mon affolante rubrique : coccinelle en luron
glacial opine, traçant l’irrésistible bande si vivement dessinée. Là, au moins,
la folie s’assume comme un contre univers n’ayant pas la dangereuse prétention
de remplacer les complets gris au pouvoir, au contraire des cinq bidonnantes
étoiles pour pitre europhobe : grave rage inconséquente légitimant les
outrances et ouvrant la voie à l’esbroufe politique parée du verni de la
dérision. Certes, nous sommes encore loin de l’apocalypse létale en pire, mais
le détricotage de l’UE n’augure rien de constructif.
A une encablure de là, comme
une incongruité juridique qui voudrait voir des feuilles en hiver, la Cour de
justice de la République se lâche : culpabilité hémiplégique rendue
incompréhensible, sanction totalement indolore, négligence effaçant les abus
générés avec ribambelle d’euros. Depuis la chiraquienne promulgation sans
application, on n’avait pas eu une telle loufoquerie d’un droit de plus en plus
de travers.
Pour nous rappeler la
persistance d’une ligne barbare, l’attentat de Berlin saigne à nouveau le
continent. Face aux criminels terroristes, l’irréductible combat humaniste bâtit
irrésistiblement notre Europe, illumine notre bien essentiel : résistante
liberté ici négociable en rien. Se souder dans l’adversité, voilà ce qui doit
justifier la poursuite de notre construction politique.
La fin de la promenade révèle
diverses disparitions, hécatombe chez les artistes. Parmi elles mon intimiste
cinéma hésite entre lascivité et mystère : oser regarder Gabin avant
nirvana demeure une scène mythique. Un signe que grandir en Older régénère : généreuse
expression musicale imprégnant cette hardiesse assumée et libertine, tout comme
perdurera l’œuvre d’un monarchiste indécrottable, ce hussard expérimente les destinations éloignées, oasis
narrées en délicatesse.
Au bout du chemin, qui sera
naturellement prolongé pour 2017, je perçois deux silhouettes qui se tiennent
la main. D’un côté, une devanture oxydée noircissant avec lourdeur des temps
régressifs : une malfaisance politique. De l’autre une virilité
liberticide assoiffée d’influences mondiales ; intérêts russes préservés
obstinément ; unilatéralisme testant intelligemment nos errements.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire