Il en a pris un coup dans le caisson et les gonades mal testostéronées le bestiau ès expectorations… 2004, les pecs bandés contre la Camarde, il se vantait : « On sait pas jouer à part avec le feu » ! Onze piges carbonisées et le 92 tonnes de barbaque rabougrit son détournement de truisme à l’insipide lieu commun pour excuser les charognes Kouachi-Coulibaly que les vers doivent finir de becqueter : « Quand on joue avec le feu, on se brûle. » Et c’est avec ce néant cucul la praline qu’il affole réseaux et médias. Booba le bourge conformiste aurait fait enrager Léon Bloy : « Je rêve parfois d’un Samson moderne qui mettrait le feu au derrière de trois cents bourgeois et les lâcherait au milieu des autres. » (Exégèse des lieux communs).
Réponse du bourge Booba : restituer la bonne taille aux bijoux... |
Le bourge fat « encule l’Etat » mais lèche au
fond l’anus de son prophète qu’on ne doit surtout pas croquer, sinon pan ! pan ! Charlie ! L’univers du bougre : une porcherie de fric, des
trous de balle en chair et en crosse, des femelles à bourrer… A trente-huit
berges il pratique encore le concours de bites entre ados boutonneux qui mâchouillent
leur smegma s’irritant que leur pendante merveille ne soit pas un os : braquemart
braqué sur le cul de ces « putes » dont dépend sa virilité en
bandoulière.
Le coquet à casquette chie sur l’hexagone, mais s’amollit
à Miami. Sa hantise ? retomber « à l’Opel » et ne plus pouvoir
mépriser les échoués qui n’ont pas l’oseille à hauteur de Ferrari lamborghinisée. Un bourge bidonnant, je
vous le dis. Et certains exégètes ont osé rapprocher la pauvre prose du rappeur
encrassé de l’explosive virée célinienne ou de l’Ombilic des limbes incandescent. Visez la tronche : « Bad boy évite la cellule, les filles évitez la cellulite » ! Il en reste
à racler ? « Nique sa mère, même une sexagénaire ». A savourer : le bourge
ordurier se dit musulman, mais NON pratiquant… normal ! Bien trop accaparé
par ses inopportunes postures râpeuses.
Cadeau pour sa méditation d’après pituite : « (…)
le feu est, en même temps, un mot banal et une réalité des plus mystérieuses,
et quand il est annoncé, que ce soit à voix basse ou par la clameur désespérée
des tocsins, on dirait que c’est lui qui joue
avec l’homme, tant il affole du pressentiment divin les plus lamentables
imbéciles ! » (Léon Bloy, entrepreneur de démolitions).
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